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mardi 10 décembre 2013

10 trucs anti-fourmis efficaces

Les fourmis sont des insectes qui se répandent très vite dans la maison et le jardin. Attirés par le goût sucré, les fourmis ne dédaignent pas pour autant les autres goûts. Ce qui est désastreux avec les fourmis, c’est que les choses qu’ils envahissent deviennent inutilisable. Voici donc 10 trucs anti-fourmis qui fonctionnent bien contre les fourmis.


1. Le citron utilisé comme anti-fourmis

Laissez moisir un citron pendant quelques temps. Ensuite découpez le citron en tranches, puis disperser à différents endroits dans la maison pour les faire fuir. À renouveler tous les dix jours pour de meilleurs résultats.

2. Le sel, un anti-fourmi naturel

Le sel peut être utilisé comme truc contre les fourmis. En effet, le sel a comme vertu de détruire leur nid et de les faire fuir une bonne fois pour toute de votre maison.

3. L’eau de javel

Pour éliminer les fourmis qui infestent votre jardin, on doit utiliser le truc anti fourmi suivant : mouillez des petits morceaux de tissus avec de l’eau de javel. Par la suite, placer les morceaux de tissus près des nids de fourmis.

4. Fertiligène contre les fourmis

C’est un truc anti fourmi bio. Commercialisé sur internet, il est efficace contre les fourmis car il contient des molécules biologiques, de la bactérie Saccharopolyspora spinosa, qui tuent radicalement tous les fourmis dans votre maison et jardin.

5. Des barrières pour insectes

Il existe également des barrières qui repoussent les fourmis sans les tuer. Il suffit de vaporiser un peu de ce produit directement sur les fourmis et surtout sur les fenêtres et autres endroits où les fourmis entrent dans la maison.

6. De la craie, un truc efficace

Ecrasez une craie pour la rendre en petite granule ou en poudre. Éparpillez ensuite la poudre de craie sur le chemin qu’empruntent les fourmis. C’est un anti-fourmi qui opère de façon radicale et rapide.

7. Du vinaigre pour repousser les fourmis

Versez un peu de vinaigre blanc tiède sur les nids de fourmi. Après chaque repas, nettoyez aussi les paillasses avec le même vinaigre. Versez en sur les fenêtres, comme ça ils ne s’inviteront plus chez vous.

8. Un peu d’ail

L’odeur forte de l’ail est repoussante pour les fourmis. De plus c’est écologique. Pour de meilleurs résultats, il est indiqué de piler l’ail afin de la placer aux différents endroits.

9. Le basilic, une plante qui a beaucoup de vertus

Le basilic est une plante-remède aux insectes. Les fourmis ne le supportent pas non plus. Pour les éloigner, placez des feuilles de basilic sur les endroits que les fourmis privilégient dans votre maison, terrain ou jardin.

10. La poudre de cannelle

La poudre de cannelle est très répulsive pour les fourmis. Il faut tout simplement asperger de cette poudre les endroits qui servent de demeure à ces insectes et le tour est joué.
Et vous, quel est votre truc préféré pour éliminer les fourmis de votre jardin ou de votre maison?

jeudi 7 novembre 2013

Alcool, tabac, cannabis : quelles sont les régions les plus accros ?

L'Inpes dévoile jeudi son atlas des usages de substances psychoactives, qui permet de mesurer les pratiques addictives.
Où met-on le plus sa santé en danger en France ? Jeudi 7 novembre, l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) publie son atlas des usages de substances psychoactives, issu de données récoltées en 2010. Les multiples statistiques révélées par l'institut permettent de connaître, région par région, le nombre de consommateurs hebdomadaires de vin, de fumeurs réguliers ou encore de ceux qui ont déjà essayé la cocaïne.
Francetv info a choisi de se pencher sur les pratiques les plus nocives : l'usage d'alcool considéré comme risqué, le tabagisme et l'usage fréquent de cannabis. Voyage dans la France qui se fait du mal en voulant se faire du bien.

 Alcool : le Sud inquiète plus que le Nord 

Dans son étude, l'Inpes définit précisément ce qu'il considère comme un usage d'alcool "à risque chronique ou de dépendance". Entrent dans cette catégorie : les hommes consommant plus de 21 verres par semaine, les femmes qui en boivent plus de 14 et tous ceux qui consomment au moins 6 verres en une seule occasion, au moins une fois par semaine.
De ce point de vue-là, les trois régions championnes de l'alcoolisation massive sont le Languedoc-Roussillon (12% des 15-75 ans interrogés), les Pays de la Loire (11,9%) et le Midi-Pyrénées (11,5%). En plus d'un taux de consommation quotidien d'alcool généralement supérieur à la moyenne nationale, ces trois zones se distinguent par leur affection pour les cuites régulières : en 2010, près de 20% des Languedociens buvaient tous les mois au moins six verres en une soirée.
Les Normands font en revanche figure de bons élèves, avec un taux relativement bas d'usagers à risque (5,7% en Haute-Normandie, 6% en Basse-Normandie). Les Bretons, qui traînent une réputation de grands buveurs, ne sont que légèrement au-dessus de la moyenne. Ils sont en revanche les champions de France de l'ivresse : 28,4% des sondés disent avoir été saouls au moins une fois dans l'année écoulée. Presque dix points de plus que la moyenne nationale.


Tabac : la côte méditerranéenne concentre les gros fumeurs

La carte des accros au tabac est un peu différente, avec une forte concentration de fumeurs sur la côte méditerranéenne. Près d'un habitant du Languedoc-Roussillon sur quatre déclare ainsi griller au moins dix cigarettes par jour, là où la moyenne nationale s'établit à 19,6%. Les habitants de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur sont 23,1% dans ce cas.
Les gros fumeurs sont en revanche moins nombreux en Ile-de-France (17,6%), en Alsace (17%) ou en encore Rhône-Alpes (16,7%).
Il sera intéressant d'observer l'évolution de ces chiffres, qui datent de 2010. Car la cigarette électronique a depuis fait une entrée fracassante sur le marché : en octobre, l'Office français de prévention du tabagisme avançait le chiffre d'un million d'utilisateurs, rapporte L'Expansion.


Cannabis : l'Ile-de-France, passion pétards

Alcool, tabac, cannabis : le Languedoc-Roussillon truste la première place des trois indicateurs retenus pour cet article. Les consommateurs réguliers d'herbe et de résine de cannabis (ceux qui en ont fumé au cours du dernier mois) y sont par exemple près de sept fois plus nombreux que dans le Limousin.
L'Ile-de-France, peu attachée à l'alcoolisation massive ou au tabac, est en revanche seconde en matière de consommation de marijuana. Près de 35% des Franciliens de 15 à 70 ans indiquaient en 2010 avoir déjà essayé de fumer un pétard. Soit trois points de plus que la moyenne nationale, ce qui permet à l'Inpes d'évoquer une "différence significative". Les habitants de la région sont en outre plus nombreux à avoir expérimenté l'ecstasy, le poppers et la cocaïne que les autres, selon le rapport.
La Bretagne, l'Aquitaine, la région Paca et le Midi-Pyrénées concentrent également une proportion non négligeable de consommateurs de joints : entre 5,2 et 5,4% de leurs habitants déclarent avoir consommé du cannabis au cours du dernier mois.


http://faits-divers-cgo.blogspot.com/2013/11/alcool-tabac-cannabis-quelles-sont-les.html

"Moi, Ryan, dealer à Marseille…"

Alors que Jean-Marc Ayrault s'apprête à annoncer, vendredi, les mesures du gouvernement pour lutter contre la criminalité à Marseille, francetv info a rencontré une petite main des trafics qui sévissent dans les quartiers nord. Portrait. 
Mais qu'est-ce que tu fais avec cette banane, elle est moche ! Tu veux que je t'achète un sac Vuitton ? C'est pas possible une directrice d'association avec ça." Quand il débarque dans le centre social où il a donné rendez-vous à francetv info, Ryan* ne passe pas inaperçu. Très grand, mince, à la fois timide et blagueur, bien repérable dans son total look bleu OM, des baskets au sweat en passant par le bas de jogging. A 20 ans, il est une des nombreuses petites mains du trafic de drogue qui sévit dans les quartiers nord de Marseille, et qu'entend endiguer Jean-Marc Ayrault, qui doit annoncer les mesures du gouvernement pour la cité phocéenne, vendredi 8 novembre. Aujourd'hui, Ryan est "le cul entre deux chaises, la chaise du droit chemin et l'autre". Laquelle ? "L'autre", le deal, mot qu'il rechigne à prononcer, entre pudeur et honte. 

"J'étais bien parti et c'est ça qui me tue"

"Dites bien que nous, les dealers, on n'est pas des méchants, que les gens n'ont pas à avoir peur", entame-t-il un peu méfiant, le visage fermé. Dernier d'une fratrie de six enfants, "une famille lits superposés", Ryan est élevé dans un trois-pièces par une mère "femme de ménage chez les riches", abandonnée par son mari en cours de route. D'emblée, il balaye : "On est vraiment bien éduqués, c'est pas la faute des parents si on deale." Avant de confier un peu plus tard : "La gifle du père, c'est pas la même que celle de la mère et elle m'a manquée, celle-là."
"Enfant, j'étais au top, football-école-football-maison-maman, on est dans une bulle", se lance-t-il. "Quand je regarde, j'étais bien parti et c'est ça qui me tue." Avec ses copains, ils rêvent d'être médecin, footballeur, avocat, "les métiers de la télé""Mais les grands nous disaient : 'Toi tu vas dealer, toi tu seras braqueur'", se souvient Ryan. "Nous on rigolait : naaaan, jamais !" Les grands avaient raison. Sa bulle explose en fin de troisième, "ce moment où tu vois le gap entre ce que tu veux devenir plus tard et ce que tu peux vraiment faire". Lui qui voulait aller en seconde générale est orienté vers une section électrotechnique. Ses sœurs parviennent à l'envoyer dans un établissement du centre-ville, mais c'est pire. "Je devais apporter ma gamelle comme un maçon, alors que les autres sortaient les lovés [les billets] pour s'acheter des sandwichs."

"On me met avec des ingénieurs, je peux devenir ingénieur"

"C'est pas par rapport à autrui, c'est par rapport à moi-même, à la fierté", se justifie Ryan, qui précise : "Croyez pas, on est vraiment réveillés, nous dans les cités, on voit bien que nos voisins qui sont dans le droit chemin ils galèrent, ils ont bac +3 ou 4 et ils font des frites chez McDo."
Il commence à dealer à la sauvette. Avec deux "collègues", il s'approvisionne dans les réseaux voisins, achète quelques barrettes à 10 euros qu'il revend 30 au lycée : "On se faisait 100 euros chacun par mois, ça permettait de manger et passer des bons moments." Ryan ne dira pas exactement combien il gagne aujourd'hui, mais à peu près moitié moins que les 6 000 euros mensuels empochés par "ceux qui font ça vraiment bien, carrés, à temps plein". Et de préciser qu'il ne possède "pas de villa à la Tony Montana" et roule dans une vieille bagnole de marque française. 
Pour ne pas faire honte à sa mère, qui a fini par être au courant lorsqu'il a été arrêté, il a longtemps planqué ses fringues à la cave, se changeant avant de sortir et avant de remonter chez lui. Petit à petit, le jeune homme cesse d'aller en cours et "tient la sacoche" de drogue. Il s'avoue "très influençable" : "On me met avec des ingénieurs, je peux devenir ingénieur, mais j'ai grandi dans un endroit où 80% des jeunes sont des dealers."

"Vous pouvez pas comprendre, vous, la faim de la vie"

Là encore, il insiste : "Les grands de la cité ne sont pas pour, j'ai pris des baffes, on m'a dit 'non, fais pas ça'." De quoi tester la résistance et la détermination des gamins tentés par le réseau. "Si je vous présente un patron de réseau sans vous le dire, vous pourrez pas savoir ce qu'il fait, il est sympa, il a de l'humour", assure Ryan, qui voit les caïds comme des "équivalents bac+ 5".
"Et ils font des trucs de fou, ils mettent des enveloppes dans les boîtes aux lettres pour l'Aïd, ils organisent des tournois de foot pour les petits, des guinguettes, j'en ai même vu un dire à un gamin 'je te paye ton permis si t'as ton bac'." "C'est beau, c'est magnifique", souffle-t-il, le visage tourné vers la fenêtre, deux barres de HLM et le cube de tôle grise du centre commercial à l'horizon.  
"La faim [sic] justifie les moyens", s'emballe-t-il, grands yeux bruns plantés dans les vôtres, poings fermés, serrés contre son ventre. "Vous pouvez pas comprendre, vous, pas uniquement le ventre, la faim de la vie." "C'est un cercle vicieux phénoménal, ça va beaucoup trop vite, je pensais que j'allais finir mes études et d'un coup bam, je tenais la sacoche", reprend le jeune homme, qui descend des verres d'Oasis en s'excusant de ne pas vous servir de rosé.

"J'ai pas envie de voir ma mère au parloir"

"Un dealer, il arrache pas le sac d'une vieille, les consommateurs ils viennent à lui, c'est pas pareil", tente-t-il avant de finir par admettre à demi-mot avoir "tout fait", vols et "bracos" [braquages] compris. Mais depuis quelques mois, il "gamberge, pire qu'une cocotte-minute" : "Je pense à mon avenir, j'ai pas envie de voir ma mère au parloir, en plus, aujourd'hui, on se fait tirer [tuer] pour pas un rond." Même s'il a vu son premier mort à 11 ans, "kalaché" en bas de chez lui, et qu'il énumère au moins cinq prénoms de copains victimes de "règlements de comptes", Ryan n'a pas peur pour lui. "Je suis une majorette à côté des autres, je suis juste dégoûté de ce que je suis devenu", balance-t-il tout en désignant, sous ses vêtements, les plaques de psoriasis, une affection cutanée liée au stress, qui le démangent. 
"Ce qui m'empêche de choisir le droit chemin, c'est de me dire que je suis jeune, que j'ai envie de faire des trucs." Et, pour l'instant, il ne voit "pas d'issue, rien, pas de perspectives". Il a fait "toutes les démarches pour trouver du boulot", mais n'a réussi qu'à travailler sept mois dans un petit commerce tenu par une connaissance et une poignée de semaines dans le bâtiment.  
"On est enfermés sur nous-mêmes, on est des gens normaux mais dans un périmètre qui n'est pas normal", résume-t-il avant de se lancer dans une nouvelle chasse aux clichés. "En musique ? Laissez tomber, je suis bien plus cultivé que vous, je vous termine." Lui écoute Supertramp, Dire Straits, Abba, Cabrel, Jacques Brel – "ffffiiiiou, ça c'est de la tuerie" – et Stand by Me – "ça on se la passe en boucle". Peu de rap, "ils [les rappeurs] parlent de trucs qu'on connaît depuis la maternelle".

"On est malheureux, mais qu'est-ce qu'on se marre !"

C'est comme les sujets de conversation : "Croyez pas, on parle de trucs comme vous, de foot, de cinéma, on décide où on va encaper [séduire] ce soir, on dit pas 'viens, on va buter quelqu'un'." Avec ses copains, ils vont draguer à Aix-en-Provence, "on préfère les belles filles intelligentes aux michetonneuses". "On est tellement restés au quartier à pourrir qu'on ne s'arrête plus", reconnaît-il, intarissable sur son penchant pour les beaux vêtements. Fier de débouler "en Gucci" en boîte de nuit face aux "autres des beaux quartiers".
"Eux, il y a des zéros sur le compte de leur père et ils ont un verre, nous on plante deux bouteilles sur la table alors qu'on a que des zéros à la banque, pas de chiffres devant", sourit-il, creusant deux petites fossettes sous sa barbe de trois jours, les yeux qui pétillent. En plus, "on a beaucoup d'humour, j'appelle ça la richesse de la misère. Des fois, on se dit tous : 'On est malheureux, mais qu'est-ce qu'on se marre !'"
Quasi immédiatement, il se redresse, renfrogné : "On est baisés, voilà, désolé, mais on est baisés. C'est 30 à 40% notre propre faute et le reste, la faute du système", que Ryan diagnostique comme "défaillant depuis belle lurette". Lui a réussi à décrocher une formation dans la sécurité, "pas chez Carrefour, hein, la sécurité privée", mais ça ne le soulage pas tant que ça : "Quand tu vois que tu gagnes pas assez, tu vas regamberger à refaire des conneries, c'est sûr." En attendant que sa formation commence, il se paierait bien une virée à Paris, "pour voir La Joconde".

Pourquoi les Néerlandais parlent-ils si fort ?

Les différences culturelles peuvent être une inépuisable source de conflit. Il suffit de quelques jours de vacances pour s’en rendre compte.
 
L’écrivaine Marie-Thérèse Claes et sa collègue hollandaise Marinel Gerristen reviennent dans les colonnes du Standaard sur les différences qui existent entre les peuples et les incompréhensions qui en découlent lorsqu’on y est confronté.
Dans la culture américaine et de langue germanique, on est très explicite dans sa communication. Tout est traduit par des mots et les termes choisis doivent empêcher toute ambiguïté. Seulement voilà : 80 % de la population mondiale communique de manière beaucoup plus implicite et se base principalement sur le contexte dans lequel ces mots sont dits. Dans les cultures de l’Europe du sud et orientales, on communique principalement de cette manière, car l’on se connait mieux que dans les communautés plus individualistes comme la nôtre.

Pourquoi les Néerlandais parlent-ils si fort ?

Prenons l’exemple de nos voisins bataves qui ont la réputation de parler fort. Si c’est bel et bien le cas, cette mentalité est due à leur culture calviniste où on apprend à ne rien cacher avec comme corollaire une culture de la parole exacerbée. Dès l’école on leur apprend à être critiques; à avoir rapidement sa propre opinion et à l’exprimer sans ambages.

Ce ne sont pas les seules subtilités de langage évoquées par les deux auteurs. Par exemple on ne s’adresse pas partout aux gens de la même manière. Si en anglais le «you» s’applique à toutes les sauces, en français il existe une nuance de politesse entre le «tu» et le « vous» alors qu’au Viêtnam, il existe une nuance pour presque chaque personne à qui on s’adresse. Ou encore, en Allemagne, il est considéré comme très familier de s’adresser à quelqu’un par son prénom. La durée du silence qui suit une question peut aussi varier d’un pays à l’autre. Par exemple en France on va se sentir obligé de reparler après 0.3 seconde alors que dans d’autres cultures ce temps peut être beaucoup plus long. Autre exemple, dans les cultures où l’égalité homme-femme est peu présente, les femmes vont avoir une voix plus ténue.

Si les différences persistent, on constate pourtant l’apparition de culture hybride suite à des relations interculturelles. Celles-ci « apparaissent, changent et laissent la place à une nouvelle culture; tout dépend du contexte». Cependant si l’on perçoit des changements, les codes culturels sont tellement ancrés en chacun de nous qu’on ne peut les changer en trois coups de cuillère à pot.
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Dordogne: Un braqueur, reconnu par la buraliste, enlève sa cagoule et paie ses cigarettes

FAITS DIVERS – Il a été rapidement arrêté...
«C'est un hold up!». Mardi matin, un homme cagoulé a fait irruption, un pistolet, à la main dans le bureau de tabac de La Bouquerie, en Dordogne, et a signifié à la gérante qu'il s'agissait d'un braquage, raconte France Bleu Périgord.
Mais la cagoule n'a visiblement pas suffi à rendre anonyme son porteur: La buraliste a reconnu, à son regard, un de ses clients réguliers et le lui a dit. Déconcerté, l'apprenti braqueur a fait le choix de retirer ce qui lui couvrait la tête, de payer son paquet de cigarettes, et de s'en aller. Mais la gérante a prévenu les gendarmes, qui ont arrêté l'homme, visiblement sous l'emprise de la drogue, dans l'après-midi, à Sarlat.
 

samedi 2 novembre 2013

Ce que les hommes regardent en premier chez la femme même si elle est intelligente !

Les explications données pour expliquer le comportement des deux sexes sont assez simples. L’homme regarderait instinctivement vers une femme aux hanches fortes, puisque cela est signe de fertilité, et la femme a un œil sur ses rivales.
 
Qu’est-ce que les hommes regardent en premier chez une femme?
Son corps. Qu’est-ce que les femmes regardent en premier chez une femme?
 
Son corps aussi.
Une étude prouve que les deux sexes regardent avec plus d’attention une femme qui a de généreuses courbes, plutôt que de regarder son visage.

 Le corps le plus appétissant pour les yeux?
 
Celui d’une femme avec une généreuse poitrine, des hanches larges et une taille fine.
Et même lorsque les hommes ont dû évaluer les personnalités des femmes, ce sont celles avec les plus belles courbes qui ont été les favorites. À noter que les photos de femmes utilisées pour l’étude étaient numériquement altérées pour faire partie de trois catégories : courbes généreuses, peu de courbes, et dans le milieu.
Les explications données pour expliquer le comportement des deux sexes sont assez simples. L’homme regarderait instinctivement vers une femme aux hanches fortes, puisque cela est signe de fertilité, et la femme a un œil sur ses rivales.

 C’est la première fois que des chercheurs peuvent essayer de documenter ce phénomène, grâce à un capteur de regard, qui est capable de savoir où les yeux de posent et pendant combien de temps. C’est une façon aussi plus honnête que les questionnaires pour avoir des réponses à des questions, puisqu’il est plus difficile de contrôler son regard que des réponses à des questions.

La Toussaint : Un homme meurt devant la tombe de ses parents

Un homme de 59 ans est mort d'une crise cardiaque au cimétière de Réchésy, dans le Territoire-de-Belfort.
Un homme de 59 ans est mort vendredi d'un arrêt cardiaque au cimetière de Réchésy, dans le Territoire-de-Belfort, devant la tombe de ses parents, a-t-on appris samedi auprès des pompiers et de la mairie.
"Il s'est effondré devant la tombe de ses parents", a précisé à l'AFP le maire de la commune, Hubert Ecoffey, confirmant des informations parues dans la presse locale.
Les secours n'ont pu que constater son décès par arrêt cardiaque, à leur arrivée au cimetière, selon les pompiers. L'homme était suivi pour des problèmes cardiaques, mais "rien ne lassait présager une telle issue", a ajouté le maire.
 
 

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